en voici une autre tout aussi amusante:
"Dans un certain pays, les condamnés à mort sont soit fusillés, soit pendus. La veille de l'exécution, le condamné doit dire une phrase pourvue de sens et vérifiable dans les 24 heures. Si ce qu'il a dit est vrai il est fusillé; si c'est faux il est pendu. Un jour, un condamné très malin prononce une certaine phrase. En conséquence de quoi, la justice de ce pays se trouve devant un étonnant problème et ne peut que le gracier.
Quelle phrase le condamné à mort a-t-il prononcé ?"(réponse--->dans 10l.)
Si notre condamné à mort dit : " Demain je serai pendu " On est obligé de le grâcier! Pourquoi ?
Parce que si on le pend, c'est qu'il a dit la vérité, et dans ce cas il aurait dû être fusillé! Mais si on le fusille, c'est qu'il a menti et dans ce cas il aurait du être pendu.
En logique, je crois qu'on se retrouve dans une situation inextricable qui s'apparente à une aporie!